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Circe
35 produits trouvés
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Les espaces de la mort vivante : Kafka, de Chirico et les autres
Laszlo F. Foldenyi
- Circe
- 30 Août 2024
- 9782842425142
Dans ce nouveau livre, László Földényi recrée le rêve de la ville idéale à travers l'histoire et son destin inéluctable : la ruine, « qui marche comme un spectre à travers la perfection immaculée »,
la ruine, comme « un filigrane dans la structure des édifices destinés à l'éternité ».
Du totalitarisme à la peinture de la Renaissance ou aux peintures métaphysiques sur lesquelles de Chirico a travaillé pendant la Première Guerre mondiale, en passant par la perfection descriptive des espaces bureaucratiques de Kafka, où la mort, la vie et le sommeil s'amalgament.
László Földényi affiche une capacité de réflexion qui enrichit sans aucun doute celle des lecteurs et le confirme comme l'un des plus brillants essayistes et historiens des idées en Europe aujourd'hui.
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Simmel considère l'amour comme le fruit d'une motivation primaire, étrangère à l'opposition entre action égoïste et action altruiste. L'éros abolit toute distance entre le je et le tu, en vertu d'une projection de sentiments qui entraîne la complète solidarité, l'adhésion absolue de l'objet au sujet. L'essence de l'amour est par conséquent unitaire ; elle n'est pas la synthèse de facteurs hétérogènes, bien qu'elle se manifeste via une variété de modes et d'attributs différents : sensualité et sentiment, instinct et affection, attirance et sympathie.
Ainsi interprété, l'amour est avant tout un rapport que l'individu entretient avec lui-même, sorte de défi de réalisation de soi individuel et irrésolu, qui a pour effet une tension érotique continuelle
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Le conflit est un élément inhérent aux sociétés au même titre que l'entente ou le compromis.
Son rôle n'est pas unilatéralement pernicieux ou désastreux, mais polyvalent. s'il peut être, certes, un facteur de désolation pour les sociétés, il peut être également un facteur de leur épanouissement. facteur de désunion, il est aussi une forme essentielle de toute socialisation. simmel aura été sans doute l'initiateur de cette façon de penser pour avoir mis en évidence les éléments proprement socialisateurs du conflit.
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La fable du temps : l'espace, l'être et ses simulacres philosophiques
Guillaume Pigeard de Gurbert
- Circe
- Tissages
- 19 Janvier 2024
- 9782842425005
Les essais réunis dans cette collection « ouvrent les livres » - de littérature, de sciences humaines et sociales, de philosophie, sans exclusive. Ils les adressent à des lecteurs qui, parce qu'ils ne s'en laissent pas conter et ne renoncent ni à leurs passions, ni à leurs désirs de vérité, savent appartenir à une société à la fois accueillante et intransigeante : sur la table qu'ils dressent pour assouvir leurs appétits communs, la critique donne du goût à l'hommage.
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Si déjà Hegel pouvait écrire que « la connaissance philosophique exige que nous nous abandonnions à la vie des choses », c'est avant tout l'école de la phénoménologie, de Husserl à Merleau- Ponty, qui reconnaît la connexion de vie qui maintient notre corps aux choses et au monde. De Simmel à Bloch, en passant par Heidegger, l'ensemble de la pensée philosophique contemporaine oeuvre à la déconstruction de cette séparation entre sujet et objet qui pousse les choses vers le néant, en récupérant à l'inverse le réseau symbolique qui les place dans l'horizon affectif et cognitif de notre expérience.
Tel est le propos, intense et original, qui préoccupe Remo Bodei dans son dernier livre dédié à La Vie des choses.
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Méditations sur la vie : quatre chapitres métaphysiques
Georg Simmel
- Circe
- 19 Mars 2020
- 9782842424701
Georg Simmel entreprend à la fin de sa vie quatre méditations. Il y présente sa propre philosophie.
Il s'engage dans une réflexion sur la vie humaine dans son élan incessamment renouvelé, mais aussi sur ce que celui-ci dépose, ce qui l'entrave, échappe à ce flux continuel. C'est le « tournant vers l'idée », où viennent prendre forme les oeuvres de la culture : les institutions, les réalisations de la technique ou de l'art.
Simmel aborde la vie dans son déploiement (en « plus-de-vie »), mais aussi dans ce qui l'excède (qui est « plus-que-vie »). Il fait place à la négativité. Penser la mort à même la vie, c'est considérer la finitude, mais aussi la condition de la culture. La mort est ce qui sépare l'individu, qui rend les mondes partagés nécessaires. Et si, étant mortels, les êtres sont individuels, quelle morale pour un individu séparé, sinon de tâcher de suivre sa propre loi ? Comment penser jusqu'au bout l'individualisme de notre modernité ?
Dans une langue simple, Simmel reprend pour son temps, pour notre temps peut-être, les grandes interrogations de l'existence. -
Psychopolitique ; le neoliberalisme et les nouvelles techniques de pouvoir
Byung-Chul Han
- Circe
- 20 Octobre 2016
- 9782842424206
Après son best-seller sur la société de fatigue, le philosophe berlinois Byung-Chul Han poursuit sa critique du néolibéralsme. Il expose la technique de domination et de pouvoir du régime néolibéral qu'au contraire de la biopolitique de Michel Foucault il découvre dans la Psyché entendue comme une force productive. Han décrit la psychopolitique néolibérale dans toutes ses facettes qui mènent aujourd'hui à une crise de la liberté. Dans le cadre de cette analytique de la technque du pouvoir néolibéral il nous présente, en outre, la première théorie du Big Data et la phénoménologie luciide de l'émotion qu'elle présuppose. Donc, Han dans ce nouvel essai invente des contre-modèles contre la psychopolitique néolibérale.
Grand format 15.00 €Indisponible
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« Tout d'abord, il y a deux sortes d'écrivains : ceux qui écrivent pour le sujet lui-même, et ceux qui écrivent pour écrire. Les premiers ont eu des pensées, ou fait des expériences qui leur semblent dignes d'être communiquées ; les autres ont besoin d'argent, et c'est pour cela qu'ils écrivent, pour l'argent. Ils pensent en vue de l'écriture. C'est à cela qu'on les reconnaît : ils dévident le fil de leurs pensées le plus longuement possible, exposent des demivérités, des idées faussées, exagérées et branlantes, ils aiment aussi la pénombre, afin de paraître ce qu'ils ne sont point ; c'est pourquoi leur écriture est dépourvue de toute précision et de toute clarté...»
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Dans la majorité de ces textes laissés en plan à son décès, Flusser interroge toujours les relations intimes de la nature et de la culture. Le brouillard, le vol des oiseaux, un pré, l'orage, les vallées, la pluie : dans des miniatures merveilleusement précises et subtiles, le philosophe Vilèm Flusser décrit ses perceptions et ses expériences avec naturel. Il montre, comment ce qui a été décrit constamment comme la nature n'est en fait que la partie d'un espace cultivé, alors que ce qu'on qualifie de créations culturelles sont devenues une deuxième nature.
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Les philosophes et les clowns se ressembleraient-ils ?
L'hypothèse est peut-être moins incongrue qu'il n'y paraît. Elle est même suggérée par... des philosophes, en particulier ceux qui, observant ce que devient l'individu humain depuis le début du terrible XXe siècle, interrogent sa foncière ambivalence.
Le temps des clowns que décrivent les philosophes et écrivains ici invités (Ernst Bloch, Siegfried Kracauer, Walter Benjamin, Franz Kafka, Theodor Adorno, Samuel Beckett, Hannah Arendt, Günther Anders) n'est pas celui des Lumières, et il n'est pas non plus celui des transports romantiques ou tragiques du XIXe. Il témoigne d'une expérience historique spécifique, qui pourrait bien être encore, pour une grande part, la nôtre.
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Entretiens au studio du Bolchoï et l'Ethique
Constantin Stanislavski
- Circe
- Circe Poche
- 5 Octobre 2012
- 9782842423278
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Montages du sens ; philosophe, cinéma et arts plastiques
Pierre Rodrigo
- Circe
- 19 Octobre 2017
- 9782842424404
L'image peut-elle créer du sens ? Pour répondre à cette question le cinéma est un auxiliaire précieux, lui qui recueille, en le transformant, l'héritage formel et stylistique des arts qui l'ont précédé, y compris celui des arts voués aux seules formes statiques. L'idée directrice du parcours proposé ici est que le cinéma est, bien davantage que l'art des images mobiles, un art de la mobilité du sens et de son intensification parce qu'il est art du montage. C'est sa spécificité. La reconnaître ne conduit pas, loin s'en faut, à oblitérer la seconde composante de l'esthétique et de la logique cinématographiques : la composition du plan, le cadrage.
C'est par là que le cinéma donne une nouvelle amplitude à ce que nous nommons le « réel ».
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" Une esthétique du laid ? Et pourquoi pas ? L'esthétique est aujourd'hui un terme collectif qui recouvre un large groupe de concepts, qui à son tour se divise en trois classes distinctes. La première concerne l'idée du beau, la deuxième le concept de sa production, c'est-à-dire l'art, la troisième le système des arts, la représentation du beau au moyen de l'art dans un medium déterminé. Nous avons l'habitude de regrouper les concepts qui appartiennent à la première de ces classes sous le titre de métaphysique du beau. Mais quand on analyse l'idée du beau, on ne saurait en dissocier l'étude du laid. Le concept du laid, le beau négatif, constitue donc une partie de l'esthétique. Il n'y a pas d'autre science à laquelle on pourrait le rattacher, et par conséquent c'est à juste titre qu'on parle de l'esthétique du laid. Personne ne s'étonne de ce que la biologie traite du concept de maladie, ou l'éthique du concept du mal, les sciences juridiques du concept d'injustice, les sciences religieuses du concept de péché. Parler de théorie du laid, ce serait exprimer avec moins de précision la généalogie scientifique de ce concept. Du reste j'aurai à justifier ce terme en exposant cette généalogie... "
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Le parfum du temps ; essai philosophique sur l'art de s'attarder sur les choses
Byung-Chul Han
- Circe
- 18 Février 2016
- 9782842424022
La crise de notre époque est due en dernier lieu à l'absolutisation de la vita activa.
Celle-ci nous conduit à un impératif de travail qui dégrade l'être humain au rang d'animal laborans. L'état d'hyperactivité de notre vie quotidienne retire à la vie humaine toute faculté de contemplation, toute aptitude à demeurer, à s'attarder sur les choses. Elle conduit à la perte du monde et du temps. Les prétendues stratégies déployées pour ralentir le temps ne dissipent pas la crise. Elles cachent même le vrai problème. Il est nécessaire de revitaliser la vita contemplativa. On ne sortira de cette crise que lorsque la vita activa aura intégré dans son moment de crise, la vita contemplativa.
Grand format 15.00 €Indisponible
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Le Bauhaus fut une institution créative et pourtant irrésolue. S'il fut fermé en 1933 par les nazis arrivés au pouvoir, c'est sans doute parce que ce pouvoir ne pouvait supporter son principe de tension incessante. Pareil événement n'est pas seulement de circonstance. Il révèle des possibilités qui regardaient d'avance la période et qui n'ont pas disparu de notre horizon. Les interrogations portées par le Bauhaus dans ses divers champs d'activité ne se sont pas développées dans une société simplement industrielle, mais dans une monde touché par une révolution dans l'industrie.
Ce sont les échos de cette révolution qu'il y a lieu, encore, d'entendre et de lire dans les textes de divers artistes ayant travaillé sur place (Gropius, Kandinsky, Klee, Mies van der Rohe, Moholy-Nagy, Schlemmer).
Grand format 19.50 €Indisponible
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L'influence de Rousseau sur Kant est à la fois très connue et un peu mystérieuse : il n'est pas sûr que, là où elle paraît la plus visible, elle soit vraiment la plus profonde.
L'hypothèse examinée ici ne concerne pas seulement un point curieux d'histoire de la pensée : elle suggère une interprétation de la naissance moderne du transcendantal, dont les origines politiques seraient à la fois décisives et cachées.
Grand format 17.50 €Indisponible
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La première pensée de l'art chez Heidegger, dans les années Trente, est une pensée de la violence : une "surpuissance " essentielle s'y impose, exigeant en retour un acte de création compris comme l'exercice d'une violence héroïque.
Cette conception est-elle abandonnée dans les écrits ultérieurs ? Une alternative est-elle alors proposée, quant à l'art, à cette expérience de la souveraineté dominatrice ? L'enjeu est important, si l'art, comme l'écrit Heidegger lui-même, engage la question de ce qui "décide conjointement de qui nous sommes ", s'il révèle le type de relations que nous entretenons avec une "vérité " qui nous figure, qui dessine ou sculpte les contours de notre propre apparaître, et donc aussi, sans doute, de ce qui constitue notre être-ensemble.
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Grand format 22.11 €
Indisponible
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" Aimer quelqu'un ou quelque chose signifie ou consiste dans le fait, entre autres choses, de prendre ses intérêts comme des raisons d'agir pour servir ces intérêts.
L'amour est lui-même, pour celui qui aime, une source de raisons. Il crée les raisons par lesquelles ses actes d'intérêt et d'attachement amoureux sont inspirés. ".
Grand format 15.00 €Indisponible
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Pour une critique de la raison écologique ; le plan de la nature
Alain Milon
- Circe
- 20 Mars 2014
- 9782842423513
Du développement durable au fondamentalisme anti-humaniste de la Deep ecology, l'écologie se trouve enfermer dans l'idée que l'homme se fait de la nature. Que l'on favorise le progrès en trouvant un bon équilibre entre l'individu et son milieu, ou que l'on déshumanise la nature, le lien homme/nature semble toujours inscrit dans une union conflictuelle. Ne peut-on pas envisager une autre logique que celle qui fait de l'homme, par sa gestion des ressources naturelles, ou de la nature, par sa résistance à l'empreinte humaine, la mesure de ce lien ?
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Melville, William Godwin, Mary Shelley, Defoe. Quatre histoires de chasse obsessive et de passion réversible. Dans ces quatre récits la poursuite et la fuite sont également intenses, également excessives, et si intimes au fond que les directions et les rôles s'inversent au cours même du conflit. Ces histoires tourmentées ne font mûrir et progresser personne et ne réparent rien. On n'a avancé ni vers plus de lucidité, ni vers plus de justice, ni vers plus de bonheur. La chasse et la passion ne mènent nulle part, littéralement nulle part. Elles se tiennent tout entières dans l'intensité de leur fantasme.
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Où se trouve la ligne de partage entre le bien et le mal, entre le licite et l'illégal?
Biologie, morale, religion, sexe, environnement: existe-til encore des limites infranchissables dans nos vies? Les progrès imparables de la science verront émerger un homme génétiquement modifié, capable de manipuler la vie et la mort et de révéler les énigmes de la matière et du cosmos. Avec quels risques? Réfléchir sur les limites, essayer de les distinguer et réaffirmer la validité de certaines, tout en remettant en question nos désirs, objectifs et espaces de liberté font partie des défis les plus urgents.
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« Lire serait-il important s'il n'avait pas le pouvoir d'agir sur nous ? Et d'agir d'une manière personnelle à travers une relation personnelle, sans que nous sachions toujours très bien ce que la lecture nous apporte et comment elle nous affecte. Je raconte quelques aventures de lecture comme il nous en arrive à tous de temps en temps. Ce sont des aventures vitales, affectives, de celles qui restent le plus souvent silencieuses, ou encore ne s'expriment que d'une manière dérivée, plus tard et autrement. Ici elles ont jailli. Ces aventures intensément subjectives relèvent-elles des études littéraires ? Les portes d'entrée sont différentes, les questions posées ne sont pas les mêmes et on a prise sur autre chose.
Il ne s'agit pas de commentaire ou de critique littéraire...»
Grand format 13.00 €Indisponible
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Une jeune femme se débat dans ce qu'elle voudrait penser, dans ce qu'elle ne sait pas penser, dans ce qui prend forme en elle pendant les années de formation d'une jeunesse, jusqu'à trouver une direction inattendue. Ceci n'est pas une autobiographie, c'est le roman d'éducation d'une idée.
C'est aussi une étude sur l'intimité du temps des idées. Ce passé, je ne l'ai repris que pour voir clair. Je l'emploie pour explorer ce qui est chaque fois différent mais que nous reconnaissons tous : ce que devient à travers les années l'aventure personnelle des enjeux de pensée. Et l'on s'aperçoit plus tard que cette durée intime, aimantée plutôt que dirigée, est devenue à sa façon un parcours de travail et de vie.