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Leo Scheer
45 produits trouvés
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Grand format 31.00 €
Indisponible
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Dans Les Contes de la folie ordinaire, Charles Bukowski dit que les prostituées sont titulaires d'un secret que les hommes ont oublié : la vérité. Jean-Luc Godard relie son obsession du cinéma - art des signes vrais - et de la prostituée en une métaphysique qui lui est propre, que l'on retrouve particulièrement dans son film Une femme coquette.
Il y joue le rôle du miché de la prostituée, incarnation de la vérité face à la coquette qui, de l'autre côté de la rue, joue à la putain. Lulu, l'opéra d'Alban Berg, adapté de La Boîte de Pandore de Frank Wedekind, tend aux bourgeois et aristocrates autrichiens le miroir de leurs propres fantasmes obscènes, ceux qu'ils gardent à l'abri de leur intériorité, avant de détruire l'objet de leur désir, la belle Lulu. La prostituée, en rendant publique l'hypocrisie de la société bourgeoise sur le point du sexe, lui ôte tout pouvoir. C'est pourquoi on s'attache à la condamner quand, portant des attributs extérieurs de séduction, elle racole dans la rue. DansUlysse, James Joyce montre comment Leopold Blum, en traversant une expérience initiatique, devient un véritable héros : il doit aller chercher Stéphane Dedalus dans le bordel de Bella Cohen. Pour lutter contre les hallucinations - ses désirs secrets - qui l'assaillent, il doit se raccrocher à la vérité de son amour pour sa femme Molly.
Chester Brown, dans son roman graphique Vingttrois prostituées, révèle que passer un moment avec une putain, c'est passer un moment avec soi-même, comme on passerait un moment face à un miroir.
On y est nu, confronté à son reflet, obligé de prendre en charge son propre désir.
À partir de ces exemples, loin d'être tous cités ici, Laurent de Sutter démontre que la rencontre avec une prostituée fait dérailler l'ordre par lequel un homme tente de ne pas s'effondrer à chaque coin de rue. Elle rend impossible la poursuite d'une existence qui prétend être gouvernée par la raison, comme s'il s'agissait d'un dossier à régler.
Au contraire, la vérité est dans la perte de cette règle. De même qu'elle affole l'ordre social du travail et de l'argent, ou même l'ordre policier de la rue, la prostituée affole l'ordre individuel du sujet.
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Le Cours de linguistique générale de Ferdinand de Saussure, texte fondateur dont se revendiqueront Lévi-Strauss, Lacan, Barthes et tout le mouvement connu sous le nom de structuralisme, est pourtant un texte mystérieux, rédigé par des disciples après sa mort à partir de notes de cours.
Montrant que cette énigme de Saussure n'est autre que celle des signes eux-mêmes, qui se transforment à mesure qu'on les utilise, ce livre reconstitue dans toute son ampleur et dans toute son actualité la pensée fragmentée du maître du structuralisme. On comprend alors comment une obscure découverte linguistique de la fin du XIXe siècle a ouvert aux grandes oeuvres de la philosophie française des années 50 et 70.
Loin d'être un ouvrage d'érudition, ce livre plaide en faveur d'une réouverture des questions du structuralisme. Il nous apprend que parler, c'est toujours parler une langue en train de se transformer. Par les signes, nos pensées nous échappent et se mettent à vivre d'une vie propre - nous entraînant dans une histoire dont nul n'est jamais maître.
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Langue a venir (une) - derrida, l'ecriture hyperbolique
Marc Goldschmit
- Leo Scheer
- 27 Avril 2006
- 9782849380581
La pensée de l'écriture s'est aujourd'hui retirée; elle a pourtant constitué la plus grande subversion de pensée et de langue à l'âge de Heidegger et de Wittgenstein : un glissement de tout le langage en lui-même hors de lui-même.
Cette pensée a produit, sous le nom de Derrida, le travail textuel le plus discret et le plus difficile, et elle contient la promesse d'une langue à venir dans laquelle toutes les alternatives métaphysiques, politiques et éthiques sont désamorcées. Une telle détotalisation et une telle libération du langage n'arrivent qu'à l'écriture et par elle, pour autant que la possibilité de celle-ci est inséparable du surgissement du langage.
Une double injonction commande la " responsabilité littéraire " de l'écriture : une exigence de justice inconditionnelle et révolutionnaire, ainsi qu'une exigence hyperbolique de démocratie. Le démocratique de la démocratie porte celle-ci au-delà d'elle-même dans un mouvement de transformation historique, juridique, institutionnel, qui fait signe vers un au-delà de l'Etat-nation, de la souveraineté, de la citoyenneté et de la société.
La liberté de cet autre langage -une langue d'écriture- reste encore méconnue et clandestine, mais aussi bien en réserve d'avenir.
Grand format 18.00 €Indisponible
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Ce livre est né d'un séminaire intitulé French Theory Today - An Introduction to Possible Futures, donné à la Public School de New York en 2010 et consacré à cinq philosophes français : Catherine Malabou, Bernard Stiegler, Mehdi Belhaj Kacem, Quentin Meillassoux et François Laruelle.
La perspective dans laquelle se place son auteur est celle d'un outsider étranger au contexte français, aux querelles de clocher de l'élite philosophique parisienne ainsi qu'à l'antique genèse de ses factions politiques. Sous le nom de «nouveaux réalistes », il ne s'agit donc pas de repérer l'émergence d'une nouvelle école mais de faire apparaître, en respectant la singularité de chaque auteur, des chemins de pensée qui témoignent d'un intérêt renouvelé à l'égard de la vérité. L'auteur rassemble ici, entre ontologie, redéfinition de l'objet et critique du capitalisme, quelques-uns des thèmes les plus significatifs du discours d'aujourd'hui. Il démontre qu'à la crise de la théorie succède la recherche d'autres logiques pour d'autres mondes.
La question désormais décisive de la philosophie pourrait se formuler ainsi : êtes-vous du côté du réel ou du côté de l'histoire ?
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Spinoza et Vermeer sont nés la même année, en 1632, mais le rapprochement qu'établit entre eux Jean-Clet Martin n'a rien à voir avec l'anecdote biographique, et ils auraient pu naître à cinq siècles de distance ou sur deux planètes éloignées que leur secrète et intime parenté n'en serait pas moins réelle. Affaire de forme, de manière, de regard, d'obsession peut-être - pour la modulation de la lumière, pour l'infinie multiplicité des variations de l'unité profonde des choses. Au concept spinozien de Dieu, substance unique constituée d'une infinité d'attributs, répond ainsi, dans L'Astronome de Vermeer, le rayon illuminant de mille feux le globe terrestre.
Jean-Clet Martin, dans cet essai philosophique libre, forme légère donnée à une interrogation profonde, interroge l'éternité telle qu'elle se présente quand elle rencontre le temps. Il contemple les concepts de Spinoza et médite la lumière de Vermeer pour approcher la réalité de ce qui dépasse toute réalité, et en donner, avec la modestie que nécessite toute entreprise hardie, l'abrégé, le bréviaire.
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Ontologie de l'accident ; essai sur la plasticité destructrice
Catherine Malabou
- Leo Scheer
- 23 Février 2009
- 9782756101606
En conséquence de graves traumatismes, parfois pour un rien, l'histoire du sujet bifurque et un personnage nouveau, sans précédent, cohabite avec l'ancien. Un personnage méconnaissable, dont le présent ne provient d'aucun passé, dont le futur n'a pas d'avenir. Un monstre dont aucune anomalie génétique ne permet d'expliquer l'apparition. Une improvisation existentielle. De cette impossibilité du retour de l'identité blessée sur elle-même, une forme surgit, née de l'accident, née par accident. Quelle est cette forme ? Un visage ? Une allure ? Un profil psychologique ? Et quelle ontologie peut-elle en rendre compte, si l'ontologie est depuis toujours attachée à l'essentiel et reste aveugle à l'aléa des transformations ? Quelle histoire de l'être peut-elle expliquer le pouvoir plastique de la destruction, de la tendance explosive de l'existence qui menace secrètement chacun de nous ? Poursuivant sa réflexion sur les chocs psychiques et cérébraux, Catherine Malabou nous invite ici à une aventure philosophique et littéraire, où Spinoza, Deleuze, Freud croisent Proust et Duras.
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Trois essais de philosophie amarchiste - islam.histoire.monadologie
Colson Daniel
- Leo Scheer
- 1 Avril 2004
- 9782849380147
En marge d'une légende qui le réduit à une imagerie folklorique désuète, l'anarchisme s'affirme aujourd'hui comme une véritable alternative à l'insuffisance de pensée dont témoigne l'opposition au capitalisme généralisé. Encore fallait-il, comme s'y emploie ici Daniel Colson, lui restituer toute sa dignité philosophique.
De l'historien marocain Abdallah Laroui à Hannah Arendt et à la tradition révolutionnaire européenne, c'est à montrer l'originalité et la force de la vision libertaire que s'attachent les trois essais qui constituent cet ouvrage.
Grand format 24.00 €Indisponible
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La seconde vie de l'opéra Tome 1 ; opéra mundi
Mehdi Belhaj Kacem
- Leo Scheer
- 14 Avril 2012
- 9782756103785
Un cinéphile découvre, sur le tard, l'opéra, sous la seule forme de DVD.
Il savait que le cinéma s'est toujours défini par opposition au théâtre ; il découvre que, syntaxe musicale oblige, le cinéma est une gigantesque répétition des procédés de l'opéra. Pendant trois ans, il n'interroge plus son rapport à la seconde vie de l'opéra, le cinéma, qu'à travers le visionnage de plusieurs versions des mêmes opéras, chroniqués pour des magazines réels ou imaginaires.
Le présent livre est un florilège de ces chroniques.
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Qu'est-ce que la philosophie occidentale, habituée aux sommets lumineux de la raison, peut dire des sous-sols, des bas fonds, de ces zones obscures de l'humanité qui côtoient l'enfer ?
Jean-Clet Martin, poursuivant son travail d'exploration des marges et des recoins de l'histoire de la pensée, qui lui vaut une place singulière, de plus en plus reconnue, dans le paysage philosophique français, tente dans ce nouvel essai de faire surgir de l'ombre « des formes immaculées que le philosophe ne peut apercevoir qu'en devenant taupe ». Il explore, dans de courts textes qui sont autant de coups de sonde dans la nuit, l'angoisse, la mort, la déchéance, la folie, la misère, l'absence de Dieu ; tout ce qui échappe aux différents triomphes de l'homme sur l'homme.
On retrouve, au fil de cette enquête à la fois profonde et joueuse, pédagogique et exigeante, aussi bien Hegel, Kierkegaard, Nietzsche, Deleuze ou Philippe Lacoue-Labarthe que Dante, Hölderlin, Kleist, Kafka, Munch, Malher : des philosophes, des écrivains, des artistes ... la pensée dans tous ses états.
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Rigoureux, à la manière des entrées d'un dictionnaire, Stéphan Lévy-Kuentz passe en revue tous les aspects de cette " fiction collective ", de ses protagonistes à ses rituels, de sa préparation à sa mise en scène, de ses règles à sa chorégraphie.
Entre analyse sémiologique et interprétation, science de la technique et dérision à froid, il dégage ainsi l'essence de ce que Pierre Bourgeade, dans sa préface, nomme " le premier phénomène de notre époque " et fait surgir de nouvelles significations, lesquelles convergent vers l'image d'un drame universel: " Voici une forteresse intemporelle de quatre-vingt-dix minutes dont la portée du mythe buissonnier qui s'y joue est celle d'une communion laïque, cathartique et onaniste.
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La Conjuration des Tartuffes tire un bilan des violentes polémiques qui ont entouré la parution du précédent livre de Mehdi Belhaj Kacem, Après Badiou.
Il démonte la manière qu'auront eue ses détracteurs de contourner le nerf de la polémique : moralisme, psychologisme, voire psychiatrisation de l'auteur, le tout dégraissé de la moindre calorie philosophique, alors même que ses propres attaques épousaient point par point la philosophie d'Alain Badiou. Mehdi Belhaj Kacem dresse le bréviaire des monstres qui restent à terrasser : agonistique "communiste" autiste, en l'absence du moindre début de philosophie du communisme ; "machisme transcendantal" doctement ignoré par les dévots ; archaïsmes ridicules de patriarche ; universalisme inconsistant, appuyé sur un positivisme épistémologique délirant ; éthique aussi abstraite dans sa formulation qu'ignominieuse dans ses intentions ; etc.
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L'air intelligent ; théorie et pratique
Jean-luc Florin
- Leo Scheer
- Melville
- 16 Janvier 2008
- 9782756101101
L'intelligence est-elle contagieuse ? Comment la considérait-on au Moyen Age ? À la Renaissanceoe Au temps des Lumières ? Dans les salons victoriens ? Dieu est il intelligent ? Et l'intelligence n'est-elle pas plutôt le propre du Diable ? En quoi se différencie-t-elle de ce que Pascal nomme l'esprit de finesse ? Qu'en disent Platon, Dostoïevski, Balzac, Proust, Valery, Bergson ? Quelle est cette secte du XVe siècle, " les hommes de l'intelligence " ? L'intelligence n'est elle qu'une couverture mondaine ? Intelligence et démocratie sont-elles antinomiques ? L'intelligence penche-t-elle du côté de la ruse ou de l'analyse ? Du sophisme ou du raisonnement ? D'Arsène Lupin ou de Sherlock Holmes ? Respecte-t-elle les classes sociales ? Comment avoir l'air intelligent ? Même après trois verres ? A toutes ces questions et à bien d'autres, ce petit ouvrage répond avec humour, érudition, légèreté et, bien sûr, un peu de la bêtise dont l'auteur avoue ne pas avoir su se départir.
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Verbali est le procès-verbal (c'est le sens de ce mot en italien) cocasse et fascinant d'un délire singulier.
Verbali c'est aussi une langue à la fois étrange et précise : " Les morts vont dans un autre monde et, là, ils poursuivent leur vie à partir du point où elle s'était brisée. S'ils sont très vieux, ils recommencent depuis le début, naissant à nouveau mais dans un monde changé. C'est ainsi qu'il est permis à chacun de voir la totalité des temps [...] Et à tous il serait donné de revenir au moment opportun : au nouvel an du siècle, lors d'un événement, d'une fête, peut-être d'un tremblement de terre ou de l'éruption du Vésuve, et nous serions sauvés tous ensemble, et nous aurions la possibilité de revoir tous nos morts.
Pour tous ceux dont la vie avait croisé la mienne, de quelque façon que ce soit, ne serait-ce que par hasard et fugitivement, dans un autobus ou dans un train, à tous ceux-là, le salut devait être accordé. Telle était dorénavant ma condition de minuscule messie [...] " Verbali est le livre, inédit, d'une jeune philosophe qui vit et enseigne en Italie, à Sienne.
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Qui sommes-nous donc et qu'est-ce qui peut faire qu'une vie soit authentiquement vécue ? Avons-nous seulement un corps ou aussi une âme ? Lorsque nous mourons, perdons-nous seulement le corps ou bien peut-on aussi perdre son âme, et qu'est-ce que cela veut dire ? L'homme est-il d'abord un vivant, comme les otaries et les mille-pattes, ou bien est-il d'abord autre chose ? Le monde est-il simplement la circulation des marchandises, hommes compris, ou bien est-il aussi et surtout le miracle de l'être et des apparitions de l'être ? C'est cette dernière version, opposable à l'ensemble du nihilisme aujourd'hui triomphant, qu'il faut soutenir.
Ce livre ne donne pas de recettes : il affirme, il pose la violence heureuse du positif en travers du travail incessant du ressentiment, il indique comment, dans une époque qui pense si mal, penser est une fête.
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La vie psychique du pouvoir - theories de l'assujetissement
Butler Judith
- Leo Scheer
- 3 Octobre 2002
- 9782914172585
La Vie psychique du pouvoir explore le paradoxe, contenu dans le concept d'assujettissement, selon lequel le pouvoir est à la fois créateur et oppresseur du sujet.
Cette contradiction est vécue psychiquement comme " attachement passionnel " du sujet à lui-même. La subjectivité est passionnément liée à sa subordination. Comment dès lors penser une quelconque dissidence ? Une réélaboration du concept d'identité sous ses aspects politiques, psychiques et sexuels permet de donner à cette question uni tour inattendu. La Vie psychique du pouvoir constitue sans doute l'examen le plus magistral des rapports entre " sujet ", " pouvoir " et résistance " depuis Foucault et Althusser.
Que l'auteur en soit une femme, américaine de surcroît, rend cet ouvrage encore plus remarquable.
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On présente généralement Empire, le récent livre de Michael Hardt et Antonio Negri, comme une avancée théorique majeure. Nous disposerions grâce à lui de moyens renouvelés d'interpréter le monde «globalisé» et de le transformer.
Tel n'est pas l'avis de Anselm Jappe et Robert Kurz qui, loin de tenir ce livre pour la critique politique radicale que ses auteurs prétendent, le réfutent ici sans appel, n'y voyant rien de plus qu'une utopie «fleur bleue» où ressuscitent, écrivent-ils, «toutes les illusions petites-bourgeoises et prolétariennes de ces deux derniers siècles quant à un "capitalisme équitable"».
Grand format 13.00 €Indisponible
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