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Rocher
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L'amour sur le bout des doigts : Ou comment faire n'importe quoi, mais pas n'importe comment
Yves Cusset
- Rocher
- 10 Avril 2024
- 9782268110134
Qu'est-ce que l'amour ? Pourquoi aime-t-on ? Comment en être absolument sûr ? Le sexe et l'amour sont-ils vraiment deux choses distinctes ? Doit-on déclarer son amour aux autorités compétentes ? L'élu de notre coeur a-t-il posé sa candidature ? N'aimer qu'une seule personne trahit-il un manque de savoir-vivre ? L'addiction au couple est-elle dangereuse pour la santé ?
Articulant comme à son habitude l'humour et l'ironie à la philosophie, Yves Cusset s'attaque ici à notre vie amoureuse. Répondant à des questions de lectrices et lecteurs imaginaires, il interroge tel un expert l'amour, le couple, la sexualité... en invitant quelques penseurs pour clarifier les multiples aspects de la relation amoureuse aujourd'hui et mettre un peu d'ordre dans nos idées. Car si l'amour n'a jamais connu de loi, cela n'empêche pas d'y mettre un minimum de règles.
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Cette anthologie thématique se propose de faire découvrir un large panorama de la littérature japonaise de 1945 à nos jours, à travers des nouvelles inédites d'écrivains connus ou que l'on aura l'occasion de lire pour la première fois en France.
Les huit auteurs réunis dans le présent volume abordent avec franchise la sexualité de leurs contemporains. Si l'affirmation du désir apparaît, chez Sakaguchi Ango, comme une réaction à l'effondrement des valeurs provoqué par la guerre, elle devient, dans un Japon aux moeurs libérées, une quête individuelle du bonheur - qu'il soit plaisir sensuel et gourmand chez Takubo Hideo, infinie exploration des corps chez Nakagami Kenji, ou trouble de l'ambiguïté sexuelle chez Yoshiyuki Junnosuke.
Mais la question du désir déborde aussi la sphère de l'intime, pour se faire l'écho de l'émancipation sociale des femmes, qui inversent les rôles traditionnels ou posent autrement l'enjeu de la maternité. Elle se fait même poli-tique lorsqu'elle rejoint la polémique récente sur les " femmes de réconfort " de l'armée impériale, telles que les évoque Furuyama Komao, écrivain et ancien soldat, par-delà les brumes de sa mémoire
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En 1979, Krishnamurti apporta un changement à ses discussions publiques habituelles en répondant à des questions écrites au cours de certaines réunions, la discussion de questions orales étant devenue problématique en présence de grands auditoires.
Cet ouvrage présente une sélection des nombreuses questions reçues et des réponses données à Ojai en Californie, Saanen en Suisse et Brockwood Park en Angleterre pendant les années 1979 et 1980.
Mis en présence de questions précises, Krishnamurti, avec une concentration particulière, explique et souligne divers aspects de son enseignement. Ces questions prennent leur source dans les complexités de la vie et les difficultés quotidiennes ; elles aspirent à une vision et une compréhension plus profondes.
Krishnamurti met l'accent sur le besoin de regarder rigoureusement la portée et la signification de chaque question en cherchant une réponse juste. Selon ses propres paroles, " ce n'est pas s'adresser à l'oracle de Delphes ". La réponse, toutefois, est souvent surprenante et implacable.
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Depuis plus de quinze ans, l'identité a fait une entrée en force dans le discours politique. L'omniprésence de cette thématique identitaire s'explique avant tout par la perte des repères dans un monde où les grands récits collectifs ont disparu, où les frontières et les limites s'effacent, où les liens sociaux se sont distendus. De telle sorte que, faute de boussole, on ne sait plus qui l'on est. Dans la situation de crise actuelle, les uns s'affirment bruyamment « identitaires », tandis que d'autres alertent sur les dangers du « repli identitaire ». Les premiers pensent que leur culture est menacée, les autres qu'il faut en revenir aux principes de l'« universalisme républicain » qui tient pour négligeables les différences entre les cultures. Pour tout compliquer, on assiste aujourd'hui, dans la mouvance des théories « indigénistes » et « décoloniales », au surgissement d'un identitarisme d'un type nouveau.Comment en est-on arrivés là ? Et de quoi parle-t-on au juste ? (Ceux qui s'empoignent sur le sujet sont bien souvent embarrassés pour dire ce qu'est l'identité, qu'elle soit individuelle ou collective.) Peut-on avoir une identité si l'on est tout seul ? Qu'est-ce qu'une identité dialogique ? L'identité définit-elle ce qui ne change jamais ? ou ce qui nous permet de changer tout en restant nous-mêmes ? À ces questions, comme à bien d'autres, ce livre cherche à donner une réponse sans tomber dans d'inutiles polémiques. L'identité est une affaire trop importante pour être abandonnée aux fantasmes.
Alain de Benoist, écrivain et philosophe, fondateur des revues Nouvelle École et Krisis, est aussi l'éditorialiste du magazine Éléments. Il a reçu en 1978 le Grand Prix de l'essai de l'Académie française. Il est l'auteur d'une centaine de livres, principalement consacrés à la philosophie politique et à l'histoire des idées. Aux éditions du Rocher, il a déjà publié Ce que penser veut dire (2017) et Contre le libéralisme. La société n'est pas un marché (2019). -
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Les mortels et les mourants : petite philosophie de la fin de vie
Yves Cusset
- Rocher
- 29 Septembre 2021
- 9782268106212
Dans la tradition philosophique, sagesse et savoir-mourir sont comme l'envers et l'endroit d'une même médaille. Au risque d'occulter la réalité âpre, les affres et les tourments, sinon l'horreur bien réelle de la toute fin de la vie. Avec l'émergence de la fin de vie comme période de la vie à part entière, la philosophie est aujourd'hui appelée à se pencher sur ceux qui meurent plutôt que sur la mort en général, sur la fin plutôt que sur la finitude, sur la situation particulière des mourants plutôt que sur la condition universelle de mortel.C'est le but de cet ouvrage que de tenter de répondre à cet appel, venu des soins palliatifs et de l'encadrement de la fin de vie, pour construire, tout à la fois dans la confrontation avec les philosophes et à travers les récits de mourants bien réels, une réflexion à égale distance de la représentation philosophique de la mort et de la psychologisation des derniers instants de la vie. Avec en point d'orgue une mise en question de la norme de la « mort apaisée ».
Yves Cusset, ancien élève de l'École normale supérieure, est à la fois philosophe et comédien. Il a écrit de nombreux spectacles et ouvrages d'humour philosophique, en même temps que des essais de philosophie politique, en particulier autour de la question de l'accueil. Son dernier livre est paru chez Flammarion : Réussir sa vie du premier coup. -
Dernier journal le journal que publia krishnamurti en 1982 est l'une de ses oeuvres les plus connues du grand public.
La dernière partie, présentée ici pour la première fois, a été enregistrée à pine cottage, sa maison de californie.
L'essentiel de sa philosophie se trouve dans ce recueil. il introduit parfois un visiteur imaginaire ou un étudiant dont les questions vont lui permettre de préciser sa pensée et de prévenir nos objections. convaincu que la plupart des maux graves dont souffre l'homme naissent de son égocentrisme, du moi et de son besoin d'affirmer d'hypothétiques différences, krishnamurti montre la voie de la sérénité : un esprit, une conscience globale sont nécessaires pour comprendre que nous sommes, chacun, l'humanité entière.
"le monde est malade ", et tout homme en est responsable. l'auteur aborde les thèmes qui lui sont chers : les vertus du doute et la liberté de l'esprit, les rapports de la pensée et du temps, la méditation, l'intelligence de l'amour. en poète, en marcheur infatigable, il livre les réflexions apaisantes que lui inspire l'observation de la nature, préparant le lecteur à s'accorder intuitivement à l'enseignement qui les prolonge.
Deux ans plus tard, krishnamurti s'éteignait à pine cottage.
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" Cette oeuvre superbe, qui propose à la fois une fertile théorie de l'histoire et une inattaquable doctrine politique... se penche aussi sur l'humanité stupide et fruste parmi laquelle nous nous démenons la plupart du temps. Si insolite et ambitieux que nous apparaisse cet ouvrage, il concerne également nos petites affaires de tous les jours. Que les lecteurs y soient attentifs, et ils en retireront le plus grand profit spirituel. " Alvaro Mutis. La liberté est un rêve d'esclaves. L'homme libre sait qu'il a besoin de soutien, d'aide, de protection. / Les philosophes actuels sont cernés par plus de tabous que le sorcier primitif. / Lorsque la rouerie commerciale des uns exploite la crédulité culturelle des autres, on parle de diffusion de la culture. / La pensée réactionnaire fait irruption dans l'histoire comme le cri d'alarme de la liberté concrète, comme un spasme d'angoisse devant le despotisme illimité auquel atteint celui qui s'enivre de liberté abstraite. / Les communications plus faciles ne vivifient pas les régions écartées, elles leur sucent la moelle. / Sans instruction primaire il est impossible d'abrutir définitivement un peuple. / La vie intellectuelle d'une grande ville moderne est une combinaison de provincialisme de quartier et de cosmopolitisme d'hôtel.
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Sous le signe de la grande expérience
Karlfried graf Dürckheim
- Rocher
- 23 Novembre 1995
- 9782268021263
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"toujours et partout, combattre ces trois assassins: l'ignorance, le fanatisme et la tyrannie.
" les textes réunis dans ce volume: défense de la franc -maçonnerie, l'opinion publique, dialogues sur la tyrannie sont la réponse d'un esprit éminemment libre aux hypocrisies et aux bigoteries de l'ordre social. digressions "politiques" (même si le poète nous met en garde: " ... elles ne sauraient être mises en pratique - car rien ne se met en pratique, la pratique se crée d'elle-même"), ces réflexions poussées parfois jusqu'au paradoxe le plus extrême distillent à travers leur franchise éclatante une saine antidote aux mystifications de tout ordre et de toute idéologie.
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" J'ai consenti à être un homme, j'ai choisi d'être un homme ", écrivait jadis un tout jeune Gustave Thibon.
Je cite cette humble et fière parole pour le pouvoir qu'elle a de m'évoquer son auteur, sa liberté, et sa docilité, en un mot : sa grâce - la grâce incomparable de celui qui, selon le mot de Nietzsche, sait " danser dans les chaînes ". Un homme. Pas un philosophe, pas un écrivain. " On me parle de ma vocation, dit-il. Je trouve le mot prétentieux. Je dirais plutôt ma fatalité... " Fatalité qu'il domine en nous ouvrant son esprit aussi généreusement qu'on ouvre son coeur.
Car un homme a besoin, pour mieux se parler à soi-même, de s'adresser à ses semblables. Quand cet homme est Gustave Thibon, il suffit qu'il s'adresse à nous pour nous rendre plus intelligent : il nous donne de comprendre tout ce qu'il nous donne à comprendre. Telle est la marque de son génie.
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Une société libérale est une société où dominent la primauté de l'individu isolé, l'idéologie du progrès, l'idéologie des droits de l'homme, l'obsession de la croissance, la place disproportionnée des valeurs marchandes, l'assujettissement de l'imaginaire symbolique à l'axiomatique de l'intérêt. Le libéralisme a acquis en outre une portée mondiale depuis que la mondialisation a institué le capital en tant que réel sujet historique de la modernité. Il est à l'origine de cette mondialisation, qui n'est jamais que la transformation de la planète en un immense marché. Il inspire ce qu'on appelle aujourd'hui la « pensée unique » libérale-libertaire. Et bien entendu, comme toute idéologie dominante, il est aussi l'idéologie de la classe dominante.Le libéralisme est une doctrine philosophique, économique et politique, et c'est comme tel qu'il doit être étudié et jugé. Le vieux clivage droite-gauche est à cet égard de peu d'utilité, puisque la gauche morale, oubliant le socialisme, s'est ralliée à la société de marché, tandis qu'une certaine droite conservatrice ne parvient toujours pas à comprendre que le capitalisme libéral détruit systématiquement tout ce qu'elle veut conserver. Ce livre se propose d'aller à l'essentiel, au coeur de l'idéologie libérale, à partir d'une analyse critique de ses fondements, c'est-à-dire d'une anthropologie essentiellement fondée sur l'individualisme et sur l'économisme - celle de l'Homo oeconomicus.
Alain de Benoist, essayiste, philosophe, est l'auteur d'une centaine de livres portant sur la philosophie politique et l'histoire des idées. Il a récemment publié Les démons du bien (2013), Survivre à la pensée unique (2015), Au-delà des droits de l'homme (2016), Le moment populiste, Ce que penser veut dire (2017) et Décroissance ou toujours plus ? (2018). -
Vous prenez de l'âge ? Réjouissez-vous ! Vous abordez les rives d'une grande et belle aventure. Celle d'une humanité vraie. Bienheureuse est la vieillesse ! Prenant à contrepied bien des idées reçues, Robert Redeker remet à l'honneur - et en pleine lumière - ce moment de la vie qui suscite de nos jours tant de crainte et de refoulement. Quel peut être, dans ces conditions, l'avenir de la vieillesse ? Faut-il singer, dans son apparence physique, ses vêtements ou ses choix de vie, le jeunisme ambiant pour rester vivant ? Il faut savoir accepter la vieillesse pour l'assumer et la vivre, répond le philosophe dans un livre puissant et prophétique.
Bien comprise, la vieillesse est résistance non d'un passé mort et idéalisé mais de la vie qui vient du fond des temps. Elle assure le maintien dans l'être des racines que la société travaille à détruire, dont elle ne veut plus entendre parler. Il faut sauver la vieillesse de l'élimination : car sans elle, c'est notre civilisation qui risque de s'éteindre. Et si la vieillesse était l'avenir et le salut du monde ?
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